Résumé
Respectivement créées en France en 2002 et 2005, la personne de confiance et les directives anticipées ont été modifiées par la loi du 2 février 2016. Ces outils sont imparfaits mais permettent d’ouvrir une réflexion et une discussion sur la fin de vie. Il appartient au médecin traitant d’informer ses patients de leur existence. En milieu de soin, il doit être proposé au patient de désigner une personne de confiance, pour une durée déterminée ou indéterminée, et l’existence de directives anticipées doit être recherchée. Nous proposons un protocole permettant d’informer les patients hospitalisés sur le dispositif de personne de confiance, tout en respectant les limites éthiques qui nous semblent induites par l’état général ou cognitif de certains patients, évitant alors la « routinisation » de l’information.
Consultation et téléchargement de l'article ci-dessous